Hogwarts Wiggenweld
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 La Méfiance est de la partie en sa compagnie [LIBRE]

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Charlie Crown
Serpentard & Septième Année
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Charlie Crown


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MessageSujet: La Méfiance est de la partie en sa compagnie [LIBRE]   La Méfiance est de la partie en sa compagnie [LIBRE] EmptyLun 24 Déc - 19:13



  • Une jeune demoiselle aux longs cheveux noirs errée d’un pas calme et non chalands dans la cour de poudlard, ses lunettes noires sur son visage, et ses bras ballants d’avant en arrière en rythme avec la cadence de ses pas. Vêtu d’un simple jean de couleur sombre d’un maillot blanc et d’un veste sombre, elle avait l’air sur d’elle et déterminée, se tenant droite et regardant droit devant elle, elle affrontait le regard des gens autour d’elle, le regard des garçons qui chaque fois qu’ils la voyaient se mettait à la suivre ou a vouloir l’aborder chose qu’elle n’appréciait pas tellement et d’ailleurs elle le faisait comprendre mais ce genre de personnage revenait toujours à l’attaque quoi qu’il puisse arriver. Quant autres jeunes filles, jalouses de son succès qu’elle n’avait pas désirée auprès des garçons ne cessaient jamais de l’insulter lorsqu’elle passait et de la regarder avec mépris tout en la regardant de haut en bas, mais se genre de comportement n’affectait pas la jeune femme, elle s’en amusait beaucoup, en effet c’est avec un plaisir sadique et un sourire amusé qu’elle leur jeter toute sorte de sort, et elle riait avec sadisme et cruauté chaque fois qu’elle commettait se genre de chose.

    C’est alors qu’à peine elle pénétra sur l’herbe du parc qu’une horde de jeunes filles qui étaient assise sous un arbre se mirent à lui lançaient toutes sortent d’insultent les une toutes aussi stupide que les autres. La jeune femme se retourna d’un geste calme dans leur direction, releva ses lunettes noires sur le haut de son crâne, puis les fixa de ses yeux verts et sortie sa baguette de la poche de sa veste, la pointa vers les jeunes filles, celles-ci se pétrifièrent soudainement devant la baguette de la jeune femme, elle était assez loin d’elles, mais elle était une excellente tireuse. Un sourire sadique sur le coin de sa bouche rouge, elle prononça d’un ton calme :


    Frozen « Furonculus »

    Une lumière sortie de la baguette de la jeune femme et se divisa en cinq pour aller frapper chacune des jeunes filles. Elles se regardèrent toutes et se mirent à hurler en voyant chacune le visages de l’autre, la jeune femme éclata d’un rire sonore et sadique tout en remettant ses lunettes noires sur son visage tout en rangeant sa baguette. Elle continua sa route après avoir adressé un léger signe de main ironique aux jeunes demoiselles. Continuant sa route, elle pris la direction du lac et toujours sous le regard de garçons stupides et de filles jalouses elle marchait d’un pas tranquille.

    Une fois qu’elle fût arrivée à la place qu’elle désirait, elle enleva sa veste, qu’elle posa sur l’herbe, puis s’installa dessus et plongeât ses deux petites pieds fin dans l’eau froide du lac, faisant monter celle-ci jusqu’à ses chevilles, puis s’allongeât sur l’herbe, les bras derrière la tête, le regard pointé vers le ciel et caché par ses lunettes noires. Elle était tranquille et sereine, jusqu’à ce qu’un être inconnu vienne la déranger dans sa méditation, toujours allongé sur le sol, elle demanda d’un ton calme :


    Frozen « Qui vas là ? »

    Elle n’avait rien vu, ses yeux étaient toujours pointés vers le ciel, mais elle n’était pas sourde, elle avait une très bonne oreille, et avait donc entendu quelqu’un approcher.
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Fanny Strangert
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MessageSujet: Re: La Méfiance est de la partie en sa compagnie [LIBRE]   La Méfiance est de la partie en sa compagnie [LIBRE] EmptyMer 2 Jan - 14:37



    Enervée. Oui, la jeune Serdaigle n'avait pas eu une bonne journée, c'était le moins que l'on puisse dire. Ce maudit professeur allait la rendre folle avant la fin de sa scolarité s'il ne décrétait pas qu'elle avait raison. Fanny avait toujours raison quand il était question de potion. C'était incontestable et son fort caractère ne laissait pas place aux " oui mais ". Pourquoi devoir toujours se justifier alors que la réponse était totalement juste? Il ne voulait que l'a faire sortir de ses gonds et bien c'était très bien tenté mais la jeune fille n'était pas prête à enlever son badge pour cette chose qui ne savait même pas se laver les cheveux une fois par semaine. Lamentable de devoir punir des élèves justes parce qu'ils étaient trop bons. N'allez rien imaginer mais les Serdaigles étaient de loin la meilleure maison et celui-là en était sûrement jaloux. Ses pauvres Serpentards ne faisaient pas le poids alors il fallait bien se venger pour compenser. A son âge, Fanny aurait pensé qu'il était mature mais apparent tirer la langue était presque de son ressort. Idiot, saleté de professeur quoi! Elle l'aimait bien pourtant mais aujourd'hui, il était fort déconseillé de lire ses pensées qui ne trahissaient pas l'expression joyeuse de son doux visage. Pourtant on voyait bien que quelque chose n'allait pas, elle ne tapait pas dans le dos de certains garçons qui avaient eu la fâcheuse idée de l'embêter un jour et n'essayait même pas de taquiner ce Gryffondor qui devenait rouge comme une tomate. Décidément, le ciel voulait lui poser un ultimatum. Pourquoi les Serdaigles devaient toujours avoir le dernier mot?

    Il était temps de se reprendre en main, son petit sac noir sur l'épaule, elle dévala les escaliers pour se rendre jusqu'au lac. Il lui donnait toujours les réponses adéquates dans des situations comme celle-là. Que serait-ce cette-fois? Une semaine de solitude? Une aventure? Une virée nocturne avec elle? Aucune idée mais elle n'était pas assez patiente pour attendre. C'est que les élèves ne s'étaient pas gênées pour lui voler son idée. Il y en avait un peu partout dans le parc mais moins autour du lac, ce qui l'a rassura quelque peu. Quand des voix s'élevaient, elle devait hausser la sienne aussi pour pouvoir réfléchir convenablement et cela n'était pas préférable. Faire la loi, c’était pénible, ils n’étaient pas en maternelle ! Le premier aura une fessé, le deuxième devra aller au coin et le troisième n’aura pas de sieste, pour la peine. Pourtant son statut de préfète lui plaisait grandement pour le moment, pouvoir gronder n’importe qui sous prétexte d’être supérieur à eux. Pour une fille de 15 ans et de moldu, elle devrait être traitée comme une moins que rien mais cela n’était pas arrivé. On la respectait mieux, ou alors les élèves faisaient semblant. Ce n’était pas le cas des Serpentards mais on ne pouvait pas tout avoir d’un seul coup.

    Le lac, cet endroit était si paisible le soir. A cette heure-ci, ce n’était pas le cas. Elle l’observait tranquillement, ne prenant pas la peine de regarder qui pourrait se trouver au sol. Une voix l’a sortit de sa rêverie et elle baissa le regard jusqu'à ce qu’une silhouette soit dans son champ de vision. Fanny se mit délicatement à sourire, si on ne lui avait pas parlé, elle lui aurait sûrement marché dessus par inadvertance. D’un sens, c’était mieux ainsi. Jugeant la couleur du blason de l’adolescente, elle leva un sourcil, interloquée. Pourquoi cela ne l’étonnait pas. Etrangement, elle avait plus de mal avec les Gryffondor qu’avec les verts et argents mais ce n’était pas la grande amitié non plus. Dire que cinq ans plus tôt, la jeune fille aurait pu tomber dans cette maison, le choixpeau avait longuement hésité. Ils lui ressemblaient alors ? Ou c’était elle qui avait des points communs avec eux ? Ils n’avaient pas la même réflexion et les garçons lui donnaient la nausée tellement ils se croyaient puissants. Presque tous, enfin.


    « Un élève, pardi »

    Réponse évidente, un professeur n’allait pas venir ici à cette heure. Elle haussa les épaules, puis ne prêta pas plus longtemps son attention sur cette septième année et sourit, rêveuse, en regardant le lac qui était si clair en ces-temps. Fanny ne demanda même pas l’avis de la Serpentarde et se posa non loin de son emplacement. Il n’y avait pas de propriété ici, chaque parcelle était à Poudlard.
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Charlie Crown
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MessageSujet: Re: La Méfiance est de la partie en sa compagnie [LIBRE]   La Méfiance est de la partie en sa compagnie [LIBRE] EmptyJeu 3 Jan - 18:57



  • Allongée sur son matelas d'herbe, les mains posées sur son abdomen tenant sa baguette contre elle, elle regardait le ciel qui commençait à s'assombrir doucement annonça la venue de la nuit. Puis elle avait entendu du bruit, des pas lèger, elle demanda qui était là, et quelqu'un lui répondit, la voix était féminine. La jeune serpentarde en était certaine et ne pris donc pas le soin de regarder, la jeune fille dit simplement que c'était un élève, apparement elle ne savait pas accorder, car elle avait dit "un" alors qu'elle était "une". la jeune vert et argent pris alors la parole, sentant que la ejune fille en question s'installait non loin d'elle.

    Frozen -
    Et tu n'as pas de nom ?

    Demanda-t-elle avec un rictus et d'une voix calme, ce n'est pas qu'elle se moquer, ou presque pas, mais elle aimait savoir qui s'installer prés d'elle, et voir si cette personne était quelqu'un de réticent ou non, car si c'était le cas et bien sa ne collerait pas, enfin bref, peut-être qu'elle pourrait se divertir un peu se soir, puis elle dit d'une voix calme et sereine à l'adresse de la jeune demoiselle.

    Frozen -
    J'aime savoir qui s'installe à côté de moi sans me le demander. . . Moi c'est Charlie, des Vert et Argent. . . et toi ??

    Précisa-t-elle au cas ou elle n'auraitp as vu son insigne, même si il était bien en vue, il y a parfois des personnes qui n'ont pas les yeux en face des trous, et apparement la jeune fille sembler soudainement muette, ou avait perdu sa langue, et la jeune charlie fit alorsl a remarque et dit d'un ton trés calme.

    Frozen -
    Un niffleur t'as boufferl a langue ou quoi ?

    Puis sur ses mots la jeune femme se redressa calement, positinnant ses jambes en tailleur. Elle s'étira, puis posa ses mains sur ses genoux et regarda la surfface brillante du lac. en attendant que la nigaute lui réponde, et si elle ne le faisait pas, elle lui jeterais un petit sort pour s'amuser, comme ça peut-être qu'elle réagirait

    HJ : Désoler, pas top -_-"
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Fanny Strangert
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MessageSujet: Re: La Méfiance est de la partie en sa compagnie [LIBRE]   La Méfiance est de la partie en sa compagnie [LIBRE] EmptySam 5 Jan - 0:14

    Un élève, une élève, c'était du pareil au même pour la jeune Serdaigle. Dans tous les cas, elle étudiait dans ce collège et, malheureusement, jusqu'en septième année. C'est tout ce qui pouvait compter en ce moment-même et heureusement que la Serpentarde ne lui avait pas fait la remarquer car Fanny pouvait être très énervante quand elle commençait à parler pour ne rien dire, juste pour faire savoir aux autres qu'elles avait raison. Une attitude agaçante qui donnaient aux autres des prétextes de la critiquer. Bien, pas bien? Où était la différente d'abord? Elle ne s'amusait pas à taper chaque personne qui ne l'aimait pas sinon il n'y aurait plus beaucoup d'élèves en dehors de l'infirmerie. Forte? Pas vraiment, son caractère l'était mais sa force magique, c'était une autre histoire. On lui avait déjà proposé de l'aider mais cette baguette l'horripilait, était-ce de sa faute? Non, alors taisez-vous et laisser la dans sa merde une bonne fois pour toute. Ceux qui se servaient de ce bout de bois étaient déjà catégorisé dans les " A énerver par tous les moyens ". Comment résister quand cette envie vous pousse à parler ou dire des choses juste pour en prendre plein la figure? Ah ah, folle? Même pas. Elle soupira, cela lui était si inutile d'apprendre le prénom de quelqu'un avant de le connaître. Les élèves connaissaient souvent les plus beaux, les plus dragueurs mais ce n'était pas pour cela qu'ils les connaissaient particulièrement. Fanny n'avait pas un nom qui faisait frémir les autres et encore moins un corps si parfait qu'on s'amuserait à la reluquer sans arrêt. Mignonne mais sans plus, des yeux incroyablement bleus comme d'autres étaient verts. Non, il n'y avait rien de grandiose, c'était comme cela qu'elle se voyait. Cette fille était jolie aussi, pour le peu qu'elle pouvait voir. Des lunettes de soleil cachaient pas mal de chose sur un visage. Au fait, les sorciers en avaient? Ce n'était pas une invention moldu, ça? Petit soupçon mais qui n'avait pas une importance capitale.

    " Ca ne t'avancera à rien. Super, je connais le prénom de cette fille de cinquième année, whaaa... sensationnel! "

    Ironique? Oui et pas qu'un peu. Donner son nom? Oh ce ne l'a dérangeait pas du tout mais il n'y avait aucune utilité dans cela à part faire de qu'une inconnue lui demandait sans rechigner. Automatiquement, elle n'allait pas l'écouter ou alors pas avant d'avoir ouvert la bouche un minimum. Quelle chance que son visage n'est aucune cicatrice avec tout ce que la jeune fille avait pu sortir durant ses années à Poudlard. Aucune bagarre bien dangereuse, aucune claque qui l'avait propulsé à plusieurs mètres, le néant total. Sinon la jeune fille ne tenterait pas le diable, non? Enfin, après il y en a qui ne s'en prive pas mais si Fanny s'était prit des tannées, elle se terrait peut-être plus à présent. Ce n'était pas certain, la connaissant. Il lui arrivait d'être gentille, agréable et naturelle. En réalité, c'était presque automatique mais pas avec les inconnues qui la testaient. Elle aimait se prendre des coups violents pour retomber sur ses pieds.

    " Je ne suis pas non plus très près de toi mais vu que tu fixes le ciel, Tu ne peux pas le voir."

    Cinq mètres, c'était proche pour vous? Pour elle, non ou alors Charlie aurait pu sentir le corps de jeune fille a côté du sien. Ce n'était pas du tout la même chose, la jolie brune pouvait être têtue alors qu'elle savait très bien que tout était fondé sur du faux mais il valait mieux se rouler dans la farine en étant déjà trempé que sec, non? Simple réflexion aussi peu intéressante que Fanny dans ses délires sans queues ni têtes. C'est qu'être un élève, ce n'est pas aussi facile qu'on pourrait le croire. Avec un peu de retard, elle répondit tout de même. Le visage au ciel, la jeune fille en avait perdu la notion du temps et vu que répondre n'était pas une urgence, elle ne l'avait pas fait, ou alors l'envie n'y était pas. Que d'excuses pour un rien! Pour une Serpentarde qui était plus désagréable que gentille pour le moment mais elle savait le faire aussi. Il n'y avait pas besoin de magie pour cela, juste d'un bon coup de courage et de la ténacité. Serpentard? Vert, sa couleur préférée. Une question lui trottait dans la tête depuis un petit moment. Est-ce qu'elle serait devenue comme eux si au lieu d'être admise à Serdaigle, le choixpeau avait prit une autre décision? Un " non " résonnait fortement dans son esprit mais elle ne pouvait pas être sur.

    " Non... mais on est pas obligé de parler pour faire s'exprimer. "

    Elle n'allait pas se la jouer à " Tu ne le savais pas? ". Il y avait des limites pour plaisanter, surtout quand ce n'était pas une amie. Cette constante méfiance envers les autres, s'en était incroyable.

    [ Vu ce que j'écris ces temps-ci aussi... c'est loin d'être mieux La Méfiance est de la partie en sa compagnie [LIBRE] 663568 ]

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Charlie Crown
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MessageSujet: Re: La Méfiance est de la partie en sa compagnie [LIBRE]   La Méfiance est de la partie en sa compagnie [LIBRE] EmptySam 5 Jan - 18:49

  • La jeune fille à côté d’elle était donc une cinquième année, c’était intéressant à savoir. Charlie avait très bien perçut se ton ironique dans la voix de la cinquième année. Et cela fit rire légèrement la jeune femme, mais son rire était assez audible pour qu’elle puisse l’entendre. Elle allait peut-être trouver une victime, enfin se serait bien, elle tellement besoin de se défouler en ce moment et puis ce petit sort qu’elle avait jeter tout à l’heure, lui avait donner à la bouche, car quand on commet le mal on y prend vite goût, et là elle avait envie de torturer quelqu’un. Et cette jeune fille ferait peut-être l’affaire. Certaines personnes auraient besoin d’un motif pour jeter un sort à quelqu’un, comme une provocation ou autre chose. Mais Charlie, elle, elle n’avait besoin de cela, elle fait le mal, car elle aimait ça, elle était sadique. Elle soupira légèrement, puis pris la parole, avec une voix très calme et posée.

    Frozen
    « Sa ne m’avancera à rien ? Et bien si, car j’aime savoir à qui je parle, et tu as déjà fait un pas, puisque tu m’as donné ton année. Donc tu vois que tu peux y arriver. »

    En effet il est toujours bon de savoir qui est la victime. Et puis même si elle ne lui donne pas son nom, elle prendrais quand même le soin de lui jeter un petit sort en partant, quel genre de sort ? Ça elle l’ignorait encore, il y en avait tellement, qu’elle ne savait pas lequel choisir, elle les aimait tous autant qu’il pouvait être. La jeune femme continuant de fixer le ciel, écouter ce que la jeune fille lui disait, elle n’était pas prés d’elle ? Et bien si, pour la jeune femme qui détestait qu’on s’installe à côté d’elle sans lui demander ou bien sans même dire qui on est, l’exaspérait. Alors elle pouvait sentir la présence de la personne, puis avec une voix neutre et les yeux fermés, elle déclara :

    Frozen
    « Peut-être que je ne te vois pas, mais je peux sentir ta présence, tous comme j’ai senti que tu arrivait derrière moi. »

    Un don ? Non loin de là seulement une faculté qu’elle avait développer lorsqu’elle se promener tard dans la nuit, pour éviter de se faire surprendre ou même prendre. Elle resta les yeux fermés, elle écouta…le silence, car le silence c’était installé, mais il ne fût pas très long, et c’était bien dommage, car la jeune fille pris la parole, pour dire qu’on était pas obliger de parler pour s’exprimer, certes elle n’avait pas tord. Alors la jeune femme eue une idée, dans le silence et la discrétion la plus complète, elle positionna sa baguette de façon à ce que la jeune fille ne puisse la voir, puis la pointant vers la cinquième année, elle susurra un sortilège, qui frappa la jeune fille.

    Frozen
    « Furonculus. »

    C’était l’un de ses préférés, car il avait pour effet de défigurer les jeunes et belles filles, car la jeune cinquième année n’était pas laide, mais n’allait pas croire que la jeune Charlie est jalouse, car elle sait pertinemment qu’elle est d’une beauté extraordinaire, et elle n’a pas besoin de motif pour jeter des sorts, maintenant, elle allait attendre la réaction de la jeune fille face à la découverte de son nouveau visage, bien sûr la jeune femme n’est pas bête, elle avait pris soin de ranger sa baguette, ses mains derrière sa nuque, elle paraissait calme et semblait ne pas avoir bougée. La jeune femme attendait deux réactions : celle où elle cris d’horreur et panique ou bien celle où elle ne crie pas et se met en colère, ou quelque chose qui y ressemble, comme ça elle pourrait savoir si jeune fille était ou non une de ces filles qu’elle détestait tant. C’est sur ce n’est pas comme ça qu’on se fait des ami(e) s, mais qui a dit que Charlie voulait avoir des ami(e) s ? Personnes à ce que je sache.
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Fanny Strangert
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MessageSujet: Re: La Méfiance est de la partie en sa compagnie [LIBRE]   La Méfiance est de la partie en sa compagnie [LIBRE] EmptySam 5 Jan - 21:13


    Fanny fit une mine très étrange, une sorte de grimace mais qui n'en était pas une. C'était un rictus entre la pitié et l'agacement. Cette Serpentarde allait encore longtemps jouer avec les mots? S'en était presque lassant alors que les deux venaient à peine de commencer à communiquer, dire que devoir supporter cette jeune fille continuellement devait être plus que pénible, comme Fanny en autre mais ce n'était pas du même degré. Devoir répliquer pour voir laquelle des deux aurait le dernier mot n'avait rien d'intéressant, surtout que la Serpentarde était toujours allongée à même le sol et que cette posture lui prouvait toute l'indifférence qu'elle avait pour les autres, une sorte d'impolitesse mais en étant un Serpentard, c'est tout à fait normal. En tout cas, en voulant s'asseoir ici, à cette place exact non loin de l'inconnue, Fanny s'était doutée du regard de cette dernière, c'est à dire inexistant. On lui avait apprit à dire bonjour et merci et à regarder les autres dans les yeux, apparemment d'autres n'avaient pas eu la même éducation, quel dommage! Cela sert toujours de savoir être polie et gentil et personne ne peut te le reprocher. Les verts et argents pensaient qu'en se montrant autrement, les autres y verraient des êtres particuliers qui méritent plus que les autres mais en essayant de le démontrer, ils rentrent dans la même catégorie que les Gryffondor, c'est à dire vouloir se faire remarquer par tous les moyens. Que se soit en restant dans son coin et ne rien dire, faire des bêtises et se faire chopper des heures de colles ou comme celle-là, freiner l'indifférence en gardant un visage de marbre. Si les êtres humains ont été munis d'expressions, c'est pour s'en servir. Quelqu'un qui les cache ne veut pas s'accepter. Quoi qu'il arrive, quoi que cette fille puisse penser, Fanny restera dans son camp, c'est à dire neutre.

    " Je n'ai pas cherché à être discrète alors c'est tout à fait normal."

    Pour elle, se faire repérer alors que l'herbe était en fraîche et que donc les chaussures faisaient du bruit n'avait rien de grandiose, d'ailleurs elle-même l'aurait sûrement entendu venir si cela avait été le contraire. Le parc était à tous alors si cette place lui avait plut immédiatement, qu'une adolescente soit à côté, elle n'en avait rien à faire. Au pire, il y avait quoi? Un sort ou une bagarre? Oh la la, que cela lui faisait peur, juste à y penser son corps était prit d'une multitude de frissons. Non mais ils étaient sorciers, pas de simples jeunes qui ne font que boire et fumer mais des sorciers avec des baguettes magiques et le peu qu'ils savaient faire, c'était dresser un bout de bois sur quelqu'un d'autres. Un acte très stupide en soit et si on venait à lui faire du mal, malgré la douleur elle rirait, c'était certain. Rigoler de leurs conneries et de la mentalité des sorciers de Poudlard. Un beau silence s'installa, de quoi lui faire fermer les yeux et profiter de la légère brise qui se levait. Qui a dit que Fanny n'aimait pas Poudlard? Ce collège était décevant au sujet des cours mais le paysage valait le coup d'oeil.

    Comment aurait-elle pu savoir qu'une inconnue venait de lui lancer à un sort à part si quelqu'un venait lui dire? Elle ne se promenait pas avec un miroir non plus mais l'approche d'une fille de Gryffondor fit son effet. Déjà, Fanny leva un sourcil, interloquée et quand l'élève se mit à reculer avant de courir dans la direction opposée, Fanny souffla et décida de faire apparaître un miroir, c'était bien pour la bonne cause car elle détestait l'utiliser! Quel visage cela lui donnait, c'était stylé. Si elle sautait au coup de la Serpentarde, cela allait faire idiot? Peut-être! Au diable la popularité, la Serdaigle n'en avait rien à faire.

    " Ça change mais j'ai toujours voulu savoir ce que ça faisait de se retrouver dans la peau d'une grosse mochetée "

    D'un signe de tête, elle toucha sa peau, oh, on ne l'avait pas épargné sur les boutons. Plaisanter, elle adorait cela, surtout quand c'était sur sa propre personne. Étrange? On la considérait comme unique en son genre malgré son jeune âge et puis elle savait très bien que le sort n'était que temporaire alors a quoi bon s'énerver, à part rendre la Serpentarde heureuse de son coup.

    " Mes yeux ressemblent à des astéroïdes. Pour Halloween, ça peut être pas mal. "

    Elle ne plaisantait pas, Fanny qui avait toujours cherché un costume original, là on n'allait pas lui donner des bonbons mais lui jeter toute la boite sous peine d'être dévorer par une sorcière. Jeu de mot très nul, elle savait.
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