Hogwarts Wiggenweld
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 Ose dire que l'on m'a avec des Framboises je t'étrangle.

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2 participants
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Izabella I. Losanova
Serdaigle & Sixième Année
Serdaigle & Sixième Année
Izabella I. Losanova


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Particularité* : Derrière une attitude arrogante se cache un coeur sensible.
Une chose à dire ?* : Voyons si tu peux résister à une Reine de jeux.
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Ose dire que l'on m'a avec des Framboises je t'étrangle. Empty
MessageSujet: Ose dire que l'on m'a avec des Framboises je t'étrangle.   Ose dire que l'on m'a avec des Framboises je t'étrangle. EmptyDim 20 Jan - 17:38


  • PV : AIDAN & WOLF Ose dire que l'on m'a avec des Framboises je t'étrangle. 185670

    Promenons nous dans les bois pendant que le loup n’y est pas si le loup y était il nous m… hum bref. Izabella était tranquillement assise dans un arbre dans la grande forêt interdite .C’était si calme si doux, l’air était doux et venait frôlé les bouts de peau des corps humains qui osaient venir se trimballer dans la forêt. Elle, Izabella, elle aimait cela venir se promener dans la forêt interdite. Tout ce qui était interdit était passionnant n’est-ce pas. Du moins c’était ce que la jeune fille pensait. Pantacourt en jean bleu et débardeur mauve, elle avait longuement hésité à prendre un cache cœur rose avec un joli nœud rose fushia sur le côté droit. C’était décidé, elle allait le prendre au cas ou elle aurait froid. Aussitôt sortit, la jeune fille avait marché jusqu’a la forêt où il faisait comme même bien froid. Beaucoup trop froid pour que se soit supportable bras nus. Elle qui était assez frileuse, les bras nus n’allaient certes pas lui faire bon ménage.Izabella était en ce moment même à quelques kilomètres de la lisière du bois. Les kilomètres, paressaient tellement courts que lorsqu’on s’éloignait on se disait que en un rien de temps on retrouverait le bout seulement dès fois c’était pas quelques minutes qu’il fallait pour retrouver le bout de la forêt mais bien 30 voir même 40 minutes bien tassées. La jeune fille observait la lunede ses jolis yeux bleus . La lune si belle, si intéressante. Voilà ce que Izabella aurait voulu être si elle avait pas été humaine… La lune. Une si belle étoile. Le regard pensif, elle avait deux nattes. Une qui tombait sur son épaule gauche et l’autre sur son épaule droite. Jouant avec le bout non natté, Izabella , réfléchissait à de multiples choses. Par exemple sa 6ème année à Poudlard comment ce passerait-elle ? Elle espérait bien malgré tous les changements qui la perturbaient déjà assez mais bon c’était ce que tout élève voulaient bien sur que l’année ce passe bien. La jeune fille sortit de ses pensées et descendit de l’arbre. Elle regarda le ciel une dernière fois avant de se remettre à marcher vers la lisère.

    Voyant le bout de lumière annonçant, que le château n’était plus très loin, la jeune fille marchait doucement les deux mains dans les poches de son jean. Elle aimait cet endroit si lugubre, obscure, froid voir même glaciale. Cependant Izabella avait toujours aimé le soleil la douce brise chaude venant chatouiller ses bras nus l’été. Elle frissonna. Les léger petits poils qui recouvraient le corps humain se dressèrent sur le corps de la jeune Bleue. Le regard bleu ciel dans l’horizon sombre, elle scrutait les environs au cas ou il y aurait des centaures ou autres créatures qui risqueraient de mettre sa vie en danger. Le danger elle aimait ça le danger la Miss Losanova ! Après 15 minutes de marche, elle arriva enfin à la lisière. Il faisait déjà nuit et le clocher du château fit retentir 10 coups. Dix heures ? Déjà ? Et oui déjà 22 heures. La jeune fille marchait doucement, cognant quelques fois les pieds dans de petits cailloux qui roulaient sur quelques mètres. Izabella , commençait à bien frissonner et cela devenait très désagréable. Tellement désagréable que la jeune femme commença à se frotter les bras pour se réchauffer du mieux possible.Elle continuait de marcher. Izabella arriva près du grand portail qui menait au hall d’entrée du château. Pas un chat dehors et la jeune femme essayait de faire le moins de bruit possible. Cette petite balade lui avait du bien. De s’évader un peu, d’oublier les réflexions qu’on avait pu lui faire même si elle s’en fichait pas mal. Posant une douce main chaude sur la poignée ronde, elle ouvrit la porte. Cette lourde porte en bois de châtaigné qui retenait toute la chaleur. Quand la jeune Serdaigle pénétra une bouffée de chaleur lui tapa en plein dans le visage. La jeune fille soupira bruyamment captant l’attention de quelques élèves qui passaient et referma la porte doucement après elle. Son débardeur caché par son cache cœur, elle passa devant le bureau de Rusard. Ce dernier était vautré sur son fauteuil et Miss Teigne dormait tranquillement à ses pieds. Traversant rapidement le couloir, elle arriva devant la salle à manger. Son ventre gargouilla. Tiens celui la il criait famine. Tournant talons, elle se dirigea vers les cuisines. Voyant que la porte était ouverte, elle y pénétra. De suite un elfe lui sauta dessus.


    Gâteaux au chocolat ? Gâteau à la crème ? Gâteaux au citrons ? Nous avons le choix mademoiselle vous pouvez aussi prendre de l’eau …


    L’elfe eut a peine le temps de terminer, que la jeune femme avait déjà tracée sa route d’un pas très élégant. Si tous les petites créatures de cette salles lui sautaient dessus, elle allait faire une belle crise cardiaque. Et puis qu’allaient dire ses petites créatures « elle est morte d’une crise cardiaque ont lui faisait peur … » Mais non sa serait pas du tout potable. Izabella , elle , elle n’avait pas peur des elfes au contraire, elle trouvait ses petits êtres assez amusant malgré que certains pouvaient être décidément très cons ( vous m’excuserez du gros mot) . Soupirant de voir les créatures s’activer, elle s’arrêta devant l’évier où était étalées des pommes bien vertes. Hummm elle aimait les pommes mais elle aimait par dessus tout les framboises. Aie Aie Aie ! Comment attirer Izabella à soit , prenez des framboises et tender lui , elle viendrait comme une petit chien suivrait un os. Seulement ne lâchez pas la coupe sinon elle serait bien plus maligne que vous et ce comporterait comme une gamine et partirait bien vite fait après dégustée ses fruits rouges Le jeune femme regarda un elfe qui la fixait . Elle lui adressa d’une voix calme et assez douce une commande comme pour lui faire plaisir.

    Un verre d’eau bien frais s’il vous plait.

    L’elfe de maison partit directement en trottinant vers le frigo où il sortait un grand pichet d’eau fraîche . La jeune Serdaigle s’appuya quelques instants contre le rebord de l’évier, au moins une 10ène de pommes étaient bien étalées sur un grand torchons blancs. Soupirant devant la difficulté et l’ampleur du choix, elle choisit une grosse pomme verte qui était tout au milieux. Se retournant elle se dirigea vers les grandes tables au fond de la pièce. Etant disposées 4 grandes tables en bois où était posés les plats juste avant d’être envoyés à la salle où tout les élèves se retrouvaient pour manger, cependant à cette heure ci aucuns plats n’étaient là. Un petit soupire presque inaudible résonna autour d’elle , un courant d’air vont flirter avec quelques mèches blondes qui avaient glissées de ses nattes. Elle s’assied sur une table en bois et laissa basculer ses jambes dans le vide. L’elfe arriva rapidement vers elle pour lui donner son verre d’eau. Izabella le fixa d’un air amusé de l’attitude de la créature et son regard bleu se posa sur la tête de l’espèce d’animal.

    Merci vous pouvez retourner à vos occupations.

    L’elfe repartit tout aussi rapidement qu’il était venu à elle vers les fourneaux. L’endroit où c’était posée Izabella était assez calme et juste quelques bruits en fond se faisaient entendre rien de plus. Un regard plongé dans le sol, il avait été ciré il n’y avait pas très longtemps. Voyant le reflet des elfes qui marchaient plus loin, elle sentait une présence nouvelle dans la pièce. Ne relevant pas le regard, elle croqua à pleine dents dans sa pomme et rêvassant sur sa table, continuait de secouer les jambes manquant quelques fois de percuter les elfes qui se retournaient vivement pour lui jeter un regard noir. Elle n’avait cependant pas vu la présence masculine qui avait pénétrée dans la cuisine. Trop absorber par le travail des créatures, elle croqua de nouveau dans la pomme. Qui était là ? Elle ne le savait pas encore mais cela n’allait pas tarder.

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Wolf Lark
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MessageSujet: Re: Ose dire que l'on m'a avec des Framboises je t'étrangle.   Ose dire que l'on m'a avec des Framboises je t'étrangle. EmptyVen 1 Fév - 19:59

Reprenons la scène un peu plus loin. Recul rapide, comme un magnétoscope moldu. Nous ne retrouvons à l’instant précis où la gracieuse jeune fille passe, sans se faire voir, devant le bureau du concierge. Une ombre passe donc, et ni lui, ni sa chienne de chatte ne voient rien. Mais, soudain, la bestiole, le paillasson dépoilé, que dis-je, le plumeau amorphe de Poudlard redresse ce qui est sensé lui servir de tête, et qui ressemble plutôt à une pastèque aplatie et disgracieuse, et émet un très léger miaulement. Si l’on peut encore appeler ce cri de rat égorgé un miaulement. Elle venait de flairer quelque chose. Quelque chose qui ne lui était pas inconnu, loin de là. une odeur qu’elle ne connaissait que trop bien, depuis les longues années où cette carpette à pattes déplumées parcourait les couloirs de Poudlard, véritable mouchard à file d’attente. Bientôt, la bête se dressa sur ses pattes, miaula, enfin couina du côté de son maître, qui s’était malheureusement assoupi. Malheureusement pour elle, bien sûr. Parce que cette odeur … Oh, elle n’allait pas se laisser marcher sur la file d’attente roussie et cramée maintes fois ! Elle sortit du bureau, aux aguets. Car cette odeur, c’était celle de hors-la-loi, fauteurs de troubles pas au lit après le couvre-feu. Mais encore plus, c’était celle de …

Vas-y, attrape la !
Oh, ma jolie, on est venue voir Tonton Wolfinou et Tonton Aidanichet ? Que c’est gentil …

Et là, sortant de l’ombre, deux grands gaillards dont l’un la prit entre ses mains avant même qu’elle ait eu le temps d’essayer d’appeler à l’aide. Pauvre chatte … Elle perdait vraiment la patte. Mais au fait, pourquoi ? Ah, nouveau retour en arrière.

Quelques minutes avant que l’élève de Serdaigle ne passe devant le bureau de Rusard, alors que le paillasson pionçait encore tranquillement, Wolf Artiban Lark était au sol, dans un bureau, quelques étages au-dessus, se tordant de douleur à terre, se mordant les lèvres pour ne pas hurler. Il était un peu moins de vingt-et-une heure, la retenue avait commencé à dix-sept heures. Si l’on pouvait encore appeler ça une retenue. Le parquet lui semblait brûlant, alors qu’il était parcouru de terribles tremblements, le secouant jusqu’aux tréfonds de son être. Ses muscles, noués, souffrait de mille morts alors qu’il faisait tout pour rester conscient, et surtout, pour ne pas abandonner la partie. Pour rester digne, et ne surtout pas hurler. Pour continuer à faire de la résistance, malgré le fait que cela fasse deux semaines qu’il avait le droit à ce traitement tous les soirs sauf en week-ends, et qu’il n’en puisse physiquement plus.
La journée, chaque mouvement était douloureux, il était pire que courbaturé, et bon sang, il en avait ras-le-bol. Mais il tenait, encore et toujours. Ce qui le faisait tenir ? Aidan, assis sur une chaise, pas loin, en train de copier des lignes avec son propre sang, comme il le faisait lui-même avant. Le pacte qu’ils avaient scellé, qu’aucun son ne sortirait de leurs lèvres quand elle les torturerait, qu’ils n,e supplieraient pas, ne pleureraient pas. la résistance jusqu’au bout. Et son exemple. Il la relançait même entre deux salves. Et il pensait à Chance. Sa petite sœur, à son regard, tous les jours. Il voulait être un héros pour elle. A son père. LE héros par excellence. Dans la résistance, cachant son statut de lycan … Pour tous les élèves qui n’osaient pas. Pour Unity, pour Keri, sincèrement, si elles apprenaient qu’il avait pleuré sous la torture, qu’est-ce qu’elles penseraient. Pour Harry, qui devait subir sans doute bien plus, en fuite depuis la prise du Ministère. Et pour Lui. Pour lui qui reposait maintenant sous une pierre tombale de marbre blanc. Voilà tout ce à quoi pensait Wolf pour ne pas craquer. Et c’était plus qu’efficace. La preuve, quand elle le relâcha, la seule chose qui mouillait le parquet de la salle, c’était son propre sang.

Il se releva immédiatement, alors qu’il aurait juste voulu reposer sa tête sur le plancher et dormir, ou se reprendre. Mais non, pas un seul instant de faiblesse, elle ne verrait que la force de la résistance, rien de plus, rien de moins. Ses jambes tremblaient très légèrement, et son corps entier était plus que douloureux. Cependant, il n’en laissa rien paraître, fichant ses prunelles noisette dans celles de sa tortionnaire, impitoyables. Les siennes, brillaient d’une légère lueur de défi, rien de trop prononcé, des fois qu’elle soit d’humeur joueuse et le torture derechef pour insolence. Il enfonça ses mains dans les poches de son pantalon d’uniforme, tachant au passage cet habit et sa chemise de sang, et attendit que cette sadique ne leur dise que c’était fini. Ce qui était le cas, ils avaient tous les deux eu leur quota de torture et, par chance, il était moins de neuf heures. Ce qui signifiait qu’en plus de les lâcher, elle ne pouvait pas leur distribuer de retenues supplémentaires. Il se serait presque autorisé un sourire, mais ce n’était pas très prudent. Aussi attendit-il d’être dehors avec Aidan, qu’il avait entraîné par la manche pour être sûr qu’il ne lui vienne pas à l’idée de dire quelque chose de stupidement osé qui lui coûterait encore des retenues supplémentaires. Ils en avaient déjà jusqu’au mois de décembre, alors bon, ce n’était pas non plus la peine d’en rajouter. Vanné, crevé, il était )à bout, et il en avait marre, comme son ami, apparemment. Ils allaient rentrer dans leur salle commune et s’effondrer sur leurs lits respectifs pour ne plus en bouger jusqu’au lendemain matin. Seulement… seulement Wolf n’avait pas envie d’aller se coucher. Il en avait assez d’être collé pour rien, c’était vrai, ils n’avaient même pas pris de bon temps depuis leur rentrée, prendre du bon temps signifiant faire des conneries sans motif précis juste en ayant envie de s’amuser. Et sincèrement, vu tout ce qu’ils avaient pris comme retenues non justifiées, ils pouvaient bien se le permettre, non ?

D’où la capture du rat pelé que Rusard seul osait encore qualifier de « chatte », Aidan étant évidemment d’accord avec lui. Il avait été décidé que cette fois, ils allaient tester diverses formules sur l’animal, de métamorphose, pour changer sa couleur, ou changer quelques parties disgracieuses. Aidan ayant attrapé la bestiole (c’était étrange qu’elle se soit laissé faire, d’ailleurs, c’était limite si elle ne s’était pas jetée dans ses bras … suicidaire, la Miss T ?), Wolf sortit sa baguette, foutant encore un peu plus de sang sur sa chemise. Il pesta :


J’crois que je devrais vraiment avoir toujours de l’essence de Murlap sur moi.
Pourquoi, tu veux qu’on teste une potion finalement ?
Mais non, juste c’est génial pour la main, et j’en ai un peu marre de pisser le sang.
Fous pas ça trop près du museau de Miss T, des fois qu’elle ait des envies de vampirisme …

Sourire amusé et trouvage de mouchoir en tissu dans une de ses poches (ouais, y a que Wolfy pour avoir des mouchoirs en tissu, mais c’est tellement classe …), lequel mouchoir il enroula autour de sa pauvre main avant de reprendre sa baguette. Il réfléchit deux secondes.

Une nouvelle file d’attente ?
Ouais, pour se faire pardonner de lui avoir brûlé la sienne. C’était en quoi, quatrième année ?
Pas cinquième ?
J’sais plus.
Pas grave. Bon, une file d’attente…

Pour ceux qui n’ont pas compris ce qu’était une file d’attente … c’est cet appendice à la fin de l’animal. Et Wolf cherchait. Une file d’attente de cochon, ce serait pas mal. Ou de furet. Ah, non, il avait trouver.

Je trouve qu’elle a vraiment une tête de serpillière …
Comment oses-tu insulter ma fiancée ?
Tu te maries avec elle, j’épouse Rogue !
Ah, non, bonjour l’hygiène.
Bref …

Un mouvement ample et sec de la baguette de Wolf plus tard, et la pauvre bestiole se retrouva avec un attribut … de cheval !

Une balayette incorporée à la serpillière, Rusard fera des économ…
Miss Teigne ? Où es-tu ma belle ?

Et la dite balayette de se mettre à brailler. D’un même mouvement, Wolf et Aidan reculèrent, ce dernier laissant tomber l’objet ci-dessus appelé et s’enfuirent en courant, aussi silencieusement que possible. Et avec des années de pratique, ce fut très discrètement. Un hurlement retentit derrière eux, et il devint évident que Rusard avait trouvé leur œuvre. Aussitôt, ils accélérèrent, deux ombres se faufilant dans les couloirs. Il voyait très bien où ils étaient, et où ils allaient se cacher. Ils bifurquèrent encore, et se retrouvèrent bientôt devant un tableau représentant une coupe de fruits. Aidan gratouilla le ventre rebondi de la poire jaune, et le passage s’ouvrit. Les deux jeunes hommes entrèrent dans les cuisines du château, refermant le portrait à la hâte derrière eux. Les elfes de maison ne sursautèrent pas, habitués qu’ils étaient à ce genre de phénomène avec ces deux … phénomènes. Ils les saluèrent gaiement. Wolf s’assit au bout d’une des tables et éclata d’un grand rire, essoufflé, mais radieux comme jamais.

Putain, ce que ça fait du bien …

Un grand sourire canaille était dessiné sur ses lèvres, et il se passa la main gauche (pas celle toute pleine de sang, l’autre) dans ses cheveux déjà ébourrifés, laissant Aidan reprendre lui aussi son souffle.

Et vu qu’on a expédié notre repas, je propose qu’on se prenne un extra, tant qu’à y être …

Oui, tiens, que proposaient les elfes ? Un rapide tour d’horizon … une tête blonde ? No, non, il ne pensait pas à ce genre d’extra … Oh, Wolfy ! Il plaisantait, bien évidemment, ce n’était vraiment pas le genre. Elle ne semblait pas les avoir remarqués. Il la connaissait, une fille de leur année, à Serdaigle, qui n’avait pas l’air d’avoir froid aux yeux si vous voyez ce qu’il voulait dire … bref, ce n’était pas le sujet, il était de très bonne humeur, en dépit du sang qui gouttait de son bandage de fortune, et il voulait profiter encore un peu de la soirée.

Bonsoir Izabella … Désolés de te déranger en plein milieu d’un repas solitaire…
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